P'tite rencontre parmi les fleures [ Pv Kasen ]

Urumi qui était un peu larhué depuis la rentrée ne savait quoi faire. Elle ne pouvait toujours pas se rapprocher des garçons, et les filles et ben elle ne s'était pas fait beaucoup d'amie xD. Solitairement, mais d'un pas décider, elle alla au jardin japonais, qui était à quelque kilomètre du pensionnat.

En arrivant, elle fut éblouie par les merveilleuses couleurs de se jardin, du rouge; du rose; du jaune; du orange; et même quelque teinte bleu. Elle jeta un bref coup d'oeil sur la plan du jardin et s'aventura dans un nouveau monde de couleur et de poèsie.

Un petit banc, avait été placer en dessous d'un cerisier japonais, Urumi si approcha et cueillit un de ses fleures pour la sentir, autour de cet arbre il y avait mille autres fleures incconue à son odorat, elle se pencha légérement pour pouvoir sentir ces merveilles, mais cruche comme elle est, la tête la première dedans.
A mon avis ça ne va pas plaire au jardinier. Urumi se mit par terre à côté, les jambes en W entrein de se frotter la tête parce qu'au passage elle s'était prit l'arbre sur le sommet du crâne.

" Aiiiiiie, Aiiiie p'tain c'est dur ces truc là"

Toujours en trein de se frotter sa tête, bien vide, elle entendu une voix derriere elle. Elle se retourna et devint toute rouge, et on pouvait lire sur son visage la gêne et la peur. Bien un homme venait de lui demander si ça pouvait aller, ne savant quoi faire elle lui répondit en bafoullant.

"O..oui,......,.ç...ça.....pe......peut......al...al..aller"

Elle reporta ses mains entre ses jambes et baissa sa tête en évitant le ragard, du jeune homme.

Kasen en ce beau jour ensoleillé avait eut envie de faire une petite balade dans le Jardin. Livre en main, il se dirigea d'un pas lent et élégant vers le chemin l'y menant. Sa longue chevelure se dessinait sur ses hanches, tandis que ses yeux noirs se posaient de temps à autre sur ce qui l'entourait. Bah oui, déjà en descendant des escaliers il avait faillit tomber. Le vent passa dans sa longue chevelure et dans un soupir amoureux de la nature, il pénétra à l'intérieure du petit jardin japonais qu'il affectionnait tant. Disons que c'était sa manière de se pavaner aussi. Vêtue tout de noir, une cape de velours que seul un professeur aussi originale (et stupide) que lui était capable de porter, et oui avec son chapeau haut forme en prime, on aurait dit qu'il sortait tout droit du 19éme siècle.

Appréciant la nature plus que tout, et surtout la façon dont cette même nature l'aidait à se pavaner, parmi la musique barbare qui raisonnait dans ses oreille, il n'entendit non pas le cri ultra agressif du chanteur, mais d'une jeune fille en détresse (ou non) ! Alors Kasen d'un mouvement se précipite vers cette jeune demoiselle, en lançant:

- Princesse ! Vous allez bien ?

Mais lorsqu'il vit le visage apeuré de la jeune fille, il se baissa dans un majestueux mouvement, et lança:

- Je crains que vous soyez blessé !

Urumi releva la tête et le regarda de haut en bas, il avait de long cheveux noir et un cape un peu bizarre, elle se demanda si c'était un violeur, bah oui normale elle a connut que ça xD. Il y avait quelque chose d'étrange dans sa façon de faire, il parlait comme un dramaturge, ou un truc de se genre.Il s'approcha d'elle pour voir si elle était oui ou non blesser, mais quand Urumi le vit s'approcha elle voulut avoir un mouvement de recul mais par terre et en plus y avait des rosiers derrière elle.

Le jeune homme commença avec délicatesse à lui enlevait les mèches de devant pour les mettres derrière les oreilles d'Urumi, et en effet on pouvait voir qu'elle c'était ouverte sur le front, une petite coupure de rien du tous, mais ça saigner un peu. Urumi complétement paralysait au contacte de la main sur ses cheveux, je pense que ça va être compliquer de la décoincer celle là.

Aussitôt Kasen s'approcha de la jeune fille, aussitôt il la vit basculer parmi les rosiers. Des feuilles tombèrent dans l'air (c'est possible ça, xd ?) tandis qu'un milliers de rose rouges se glissaient doucement dans la chevelure rose bonbon (tiens ça donne des envie de chewing-gum xd), avec une délicatesse qui n'appartenait qu'à lui, il prit entre ses longs doigts fins les roses et les glissa doucement dans la chevelure de la jeune fille dont il ne connaissait toujours pas le nom.

- Ainsi, vous ressemblez vraiment à une Princesse, jeune demoiselle...

Et lorsqu'il vit la coupure, se levant d'un bond, il posa sur le coeur sa main comme si il était véritablement blessé, comme si une balle de pistolet l'avait atteint en plus coeur, et il fit le plus grand des numéros, comme d'habitude:

- Ô Ciel ! Pourquoi te montres-tu si cruel avec moi ? Qu'ais-je fais de mal pour que tu t'acharne ainsi sur ma personne, par l'intermédiaire de cette gente demoiselle ! Moi qui me suis toujours comporté comme un saint (hem!) ! Je ne peux comprendre ! Ah ! Comme je souffre !

Et il parta de plus belle dans son délire.

Urumi ne comprenait plus rien, elle était une princesse ???
Elle le vit se lever brusquement et se mit à dire des phrase complaitement débile et bizarre, à se moment là, elle le regarda avec de grand yeux remplit d'étonnement. La seule chose qui lui passa par la tête c'est :

*Il a peut être l'allure d'un violeut, mais niveau mental.*

Urumi regarda plus précissément comment il était habiller et puis rectifia c'est parol.

*A non, il resemble plus à un fou.*

Avec beaucoup de courage, pour elle, elle lui dit son nom et son prénom.

" Euh, Je m'a..p..pelle U..Urumi...Y...Yoriko"

Bien sur là elle a fait un grand grand pas, elle a donner son nom à un garçon en plus complétement en délire dans les fin fond de je ne sais où xD.
Urumi le ragarda timidement, se demandant sa réaction.

Soupirant un grand coup, comme si tout cela n'avait été qu'un rêve fugace, que le souvenir qu'il oublieriait à la façon d'un héro Cornelien. Entre choisir l'amour et sa raison. Une rose rouge dans la main, et avant de retourner son intention vers la jeune fille, Kasen murmura sur ton des plus mélancolique:

- J'ai comprit, tout ceci n'était qu'un rêve... Je retourne au combat et oublie que mon homme à vaincre n'est d'autre que ma chère et tendre...

Sa voix avait été aussi douce qu'un murmure, le regard presque larmoyant, Kasen lâcha la rose et retourna enfin son intention vers la jeune inconnue qui en balbutiant se présenta. Faisant encore de grand geste, sa cape volant autour de lui de façon gracieuse, et comme d'habitude Kasen ne se rendait pas compte à quel point il se rendait ridicule. Il posa un genoux à terre et prit la main d'Urumi doucement, et se présenta:

- Kasen LaPaura del Pazzia, professeur de théatre pour vous servir, princesse...

Urumi le ragarda, il lui fit un baise main et se présenta à elle.

* A ok, comprend mieu son comportement, il est prof et en plus de théâtre.*

Urumi était un peu plus rassuré, aprés tous se n'était qu'un proffesseur, sa gêne disparut et on pouvait le voir clairemant sur son visage. Doucement, elle commença à se relever pour aller s'asseoir sur le banc qui était à devant eux. Aussitôt, Urumi prit un mouchoir et commença à enlever le sang sec. Aprés Urumi lui demanda avec un ton calme et posser.

" Kasen-sensei, merci de m'avoir aider, mais quesque vous faites ici ?"

Pour Urumi les professeur n'avait pas de vie privée, il était la pour faire cours et ne s'était jamais posser la question de se qu'il pourrait faire aprés, quel cruche celle là xD, bon enfin bref elle regarda avec attention le professeur, et oui elle écoute et gob tous se qu'ils disent, même si ce son des bêtisse.

Erreur: ne jamais demander à Kasen ce qu'il faisait, parce que dans son cerveau aprés avoir reflechit une seconde, on pouvait lire: Data si computed". En d'autre therme, son QI étant étrangement élevé, et lui servant étrangement à rien, il ne fallait pas trop lui demander ce qu'il faisait. Parce que, il n'avait jamais de raison à ses actes, il était excentrique et stupide, alors on avait le droit à ce genre de réaction:

- Ce que je fais ?

Rugit-il tel un lion aprés avoir fait de nouveau de grand geste, il se mit alors à dire:

- Je fais ce que je dois faire ! Ce que des artistes se doivent de faire ! Je suis auteur, et ma noble personne (hum) se doit de faire des choses de son niveau ! Il a rien de plus beau de jouer un personne d'une grande ouvre tel Horace de Corneille, ou bien ce cher Roméo de Shakespeare, en passant par ce noble Alceste ! Ah comme je souffre de mon incompetence, comment puis-je rivaliser avec ces auteurs ? Je en peux les égaler... Ce que je suis venu faire ici, Urumi- Chan, n'est d'autre que cette quête impossible, la recherche de l'inspiration pour la pièce que j'écrit de ma plume !

Urumi qui avait écouté tous se que disait Kasen-sensei, était maintenant perdu dans ses pensées, elle essaya d'imaginer Kasens-sensei, il était devant un bureau avec une plume dans les mains et n'arrivait pas à écrire avec.

*Normale qu'il n'arrive pas à écrire avec une plume, c''est un stylos qu'il lui faut, je sais je lui en offrirais un pour le remercier de m'avoir aider*

" Et bien, Sensei, tous cela et interrésent. Et avez-vous commencer cette pièce, ou est tel encore perdu dans le néant artistique."

Urumi ne savait pas ce qu'elle venait de dire, mais elle l'avait dit. Elle devait surement penser que lui y comprendrait quelque chose, espéront que Kasen-sensei comprenne. Maintenant, Urumi était entrein de se recoiffer, cet petite chute lui vait ébouriffé sa tigniase. Elle était bien en ordre à présent et écouter avec stupidité Kasen-sensei.

- Si j'ai commencé ?

Fit Kasen avec cette voix étonnement grave, plus que d'habitude en tout cas. Et comme si cette question n'avait été que le glas sonnant à travers les oreilles inertes d'un défunt, le regard sombre du professeur s'assombrit, comme si il était la victime d'une tragédie. La main sur le coeur, le regard rêveur de mélancolie, il se mit à parler de cette voix semblable à celle provenant d'un autre monde, d'une tombe par exemple:

- Hélas, à chaque fois que je tente de souiller une feuille de mon encre noir, mon esprit semble à cet instant si lointain. Il m'est impossible alors de voir, de ressentir, de vivre, dans cet espace si restreint. Qui n'est d'autre que mon esprit, mes pensées s'envoles, mes songes s'éveille pour hurler à la mort. Et là, je me rend compte combien l'humain face au manque d'inspiration, n'est qu'un être si faible...

Urumi qui avait écouté, comme d'habitude, avec attention ces parol. C'est mauvais tous ça, elle qui a la facheuse manie de s'adapter au personnalité des personnes de son antourage. Alors maintenant, elle va se mettre à parler comme lui ou plutot à sans approcher, alors bonjour les dégats. Là on va dire que Urumi et dans sa passe "flaterie", devenue complétement fan de Kasen-sensei, à cause de ces belle parol (xD).

"OHHHHHA, qu'elle belle parol vous nous sortez là sensei, vous étes digne de euh...Shakespeare."

Urumi avait sortie ses mots sens bien réfléchir, puisque la seule pièce de Shakespeare qu'elle connait c'est ' Roméo et Juiliette ', aprés elle en a vu le film. Mais un auteur dramaturge qu'elle connait bien et ou elle en appresit c'est phrase, est Jean-baptiste Poquelin ou plus connut sous le nom de Molière. Urumi s'empressa de demendait :

" Quel est votre dramaturge préféré, Kasen-sensei"

- Comment ? Mon dramaturge preferé ?

Rugit tel un lion Kasen, qui se tut pendant quelque minutes. Il ne disait rien, réflechissant vraissemblablement à la question, le problème étant que la réponse lui était difficile à trouver. C'était comme lui poser cette question: pourquoi avoir peur des poissons ? Ce qui revenait à être un cercle sans fin. Finissant par soupirer, il nous fit son grand numéros:

- Du moment que l'émotion est forte, que les sentiments des personnages me transperce telle la pointe d'une épée, chaque dramaturge, chacune de leurs oeuvre, trouvent sa place noble dans mon coeur meurtri. Pourquoi meurtri ? Je souffre de l'indisicion, comme je suis maudit !

" Kasen-sensei, vous étes beau parleur, mais es qu'on pourrait marcher svp, j'en ai un peu marre de resté assise, en plus j'aimerai voir les merveilles de se jardin"

Urumi dit c'est parol en se levant et tendant le main, elle avait completement oublier qu'il était un homme apparament sa peur avait disparut, enfin pour le moment. Ils commencèrent à marcher, et Urumi a la vue de toute ses fleures était completement gaga, elle les trouvait magnifique. Un rosier jaune par là, un rosier rose par ci le nez dedans à se délecté de leur parfum. Quand à son habitude maladresse elle se prit le pied dans un minuscule cailloux, et BOUM, par terre, à croire que c'était la meilleure place qui lui soit attribuer.

" Aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie, encore un fois"

Beau parleur, lui ? Mais il était à son sens, un simple artiste en quête d'inspiration, qui ne trouvait au théatre que sa seule raison d'exister. Mais il est resta impassible, il n'avait aucune envie de se montrer ridicule (même si il c'était déjà humilié). Approuvant d'un signe de tête, il se mit aussi à marcher, regardant à son tour les fleurs, s'attardant sur une rose d'un rosier noir (allez savoir ce que ça faisait là, les roses noirs ça coûte super cher). Puis un bruit de chute se fit entendre, se dirigeant vers Urumi-Chan, il lança:

- Oh Princesse ! Vous êtes blessé ?

" Non, non ça va, enfin je pense que je n'ai rien."

Urumi avait tord a se sujet. Au contraire, elle s'était r'attraper sur les mains et maintenant elle avait de petite gravier dans la chair, elle resta de nouveau par terre encore les jambes en W, et sortit un mouchoir pour s'enlever les graviers.

" Aie, ça fait mal c'est truc, Aie....Aie....Aie"

Comme toute les cruches, elle se plaignuer à haute voie.

(dsl je ne sais pas trop quoi mettre)

Kasen, qui n'avait pas finit son cinema, puisque ce cinema justement ne se finissait jamais, posa la main sur le coeur comme si il ressentait une immense douleur. Il se precipita vers la jeune demoiselle et posa genoux à terre, il prit délicatement la main d'Urumi-Chan, et de ses longs doigts fins, il enleva doucement les graviers.

- Je ne fais pas trop mal ?

Urumi fut asser étonner, Kasen-sensei s'était mit à genoux pour lui enlever les gravier qu'elle avait dans les mains. Elle le laissa faire et le regarda avec de grand yeux remplit d'étonnement.

" Euh... non, ça va, merci "

Plus il avançait, plus Urumi se disait que Kasen-sensei était étrange. Elle est vraiment culloté de pensé un truc pareil, elle s'est une vrai gourde. Bon enfin, Kasen-sensei avait presque fini de lui enlever tous les petits graviers.

Kasen, qui malgré ses trés (trop) maigre connaissance en medecine, examina tout de même la main blessé d'Urumi-Chan, ce n'était pas vraiment trés grave, mais il vallait mieux nettoyer tout ceci avant que ça s'infecte. Se relevant doucement, et surtout on était tout de même étonné que ce cher professeur était capable de raisonner ainsi en voyant une blessé. Aprés tout, pour une des rares fois, on le voyait pas faire le pitre. Etait-ce un nouveau Kasen ? Non pas du tout, il faisait simplement (pour une fois) son boulot de prof. Il lança:

- Il vaut mieux aller voir l'infirmière...

" Sensei, vous pensez vraiment que je dois aller à l'infirmerie pour une si petite blessure^^"

Urumi se releva doucement, elle saignait un peu à la main mais rien de grave. Juste une petite entaille à cause des graviers. Elle reprit un autre mouchoir et l'applica sur sa blessure. Dans deux min elle n'aura plus rien et quand elle rentrera chez elle, elle n'aura plus cas mettre un pensemment et voilà.